C’est le Suisse Paolo Basso qui a finalement été choisi meilleur sommelier du monde à Tokyo.
Il en était à son cinquième concours mondial. Il est arrivé deuxième au dernier concours mondial.
La Québécoise Véronique Rivest est arrivée en deuxième place devant le Belge Aristide Spies.
Véronique Rivest ne se dit pas déçue. Avec cette médaille d’argent, elle est la première femme à se classer dans les trois premiers.
«Je suis complètement enchantée, très, très heureuse, absolument pas déçue d’avoir fait le top 3. J’étais déjà très heureuse d’avoir fait le top 12 à nouveau, pour une troisième fois», a dit Véronique Rivest à la radio de Radio-Canada Ottawa-Gatineau.
«C’est un peu le but que je m’étais fixé. Il n’y a jamais eu de femme en finale pour le concours de meilleur sommelier du monde qui existe quand même depuis 1969.»
Le prochain concours mondial aura lieu dans trois ans. Véronique dit qu’elle en discutera avec sa famille avant de décider si elle y participera.
Écoutez Véronique interrogée à la radio de Radio-Canada à Ottawa et à la radio de Radio-Canada de Montréal ce matin.
Voir aussi le texte de l’Agence France Presse sur le journal suisse La Croix.
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