Le journaliste Jacques Benoît aborde à son tour le sujet des coûteuses promotions de la SAQ.
«Les viticulteurs (…) déplorent qu’il soit devenu si coûteux d’introduire de leurs vins sur le marché du Québec.»
«La façon habituelle de procéder, pour le fournisseur, est d’inclure ce budget de promotion dans le prix facturé à la SAQ (…) à peu près 10 % de cette somme ira à la promotion. « Auparavant c’était 5 % », raconte un vieux routier du milieu. Au bout du compte (horreur!), c’est le consommateur qui paie la note!»
La concurrence est féroce pour rester sur les tablettes des produits courants. La SAQ a doublé la cible. «Le quota à atteindre la première année est le double,» — 740 000 $ — «Faute de quoi le vin est écarté du répertoire l’année suivante.»
L’article de M. Benoit est publié dans le quotidien Le Droit d’Ottawa aujourd’hui et devrait l’être aussi dans La Presse de samedi.
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