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Le vin rouge, un lubrifiant pour le coeur

Le vin rouge réduit le mauvais cholestérol de 18 % et améliore de 35 % la fluidité de la membrane des globules rouges en plus d’augmenter de façon significative les antyoxidants dans le sang.

Une étude médicale «démontre que la consommation modérée de vin rouge améliore les paramètres lipidiques sanguins et augmente la fluidité de la membrane des érythrocytes chez des patients postopérés d’un infarctus du myocarde», annonce l’Institut national de la santé et de la recherche médicale de l’Université de Bourgogne.

Un groupe médical dirigé par le Pr Norbert Latruffe et Jean-Pierre Rigler a étudié les effets du vin sur les victimes d’un infarctus du myocarde et ses effets possibles sur la récidive d’accident cardiaque.

Ils ont constaté une effet significatif après seulement deux semaines de consommation de 250 ml de vin rouge par jour.

Les résultats de la recherche seront publiés dans la revue Molecular Nutrition & Food Research.

Pendant ce temps une autre étude menée à Montpellier démontre que les «polyphénols sont responsables, au moins en partie, d’effets antiathérogenique/antioxydants des vins.» et une autre d’une université allemande dit que «le polyphénol anti-inflammatoire du vin rouge, le resveratrol, aide à la protection cardio-vasculaire.»