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Des tricheries dans le vin

Les brigades de répression des fraudes en France ont détecté un bon nombre de falsifications chez des producteurs de vin.

La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a vérifié la fabrication de vins dans 450 établissements.

«Dans près d’un quart des établissements contrôlés, des manquements ont été identifiés et ont fait l’objet de poursuites», dit un communiqué de la DGCCRF.

Ainsi, 149 prélèvements ont été fait sur des produits considérés comme «à risque» ou «suspects»; un échantillon sur trois est apparu non conforme.

Les non-conformités les plus fréquemment constatées correspondent à des cas de mouillage (ajout d’eau), de chaptalisation (ajout de sucre) ou d’incompatibilité entre l’appellation et le millésime annoncé.

Les inspecteurs ont aussi noté de mauvais emplois de tanins oenologiques qui ne sont autorisés que pour la clarification des vins.

«Globalement, un établissement sur quatre présentait une ou plusieurs anomalies. Les infractions délictuelles relevées concernent la falsification, la mise en vente de produits propres à effectuer des falsifications, la tromperie, les pratiques commerciales trompeuses et la facturation non conforme.»

Les inspecteurs ont émis 70 avertissements; 16 mesures de police administrative; 19 procès-verbaux pénaux et 12 dossiers contentieux.

Les 450 entreprises visitées (producteurs, coopératives et négociants) ont été ciblées en vérifiant les ventes de produits à risques comme les acides et les glycérines.

Le communiqué de la répression des fraudes se termine ainsi : «Le taux infractionnel constaté lors du contrôle des pratiques œnologiques et la détection de pratiques interdites parfois anciennes (mouillage, enrichissement illicite) justifient que l’action de la DGCCRF dans le secteur vitivinicole soit poursuivie pour maintenir l’ordre public économique et garantir la sécurité du consommateur de produits vitivinicoles.»